Ce que j’ai appris en accompagnant 200 développeurs fonciers

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J’assume de le dire clairement :

Avec l’expérience, je sais dire quand un développeur foncier va réussir.

Et “spoiler alert” : je me trompe rarement. (Sauf dans un sens… que je vais expliquer.)
Car oui, il m’est arrivé de voir réussir un développeur imprévisible, non cadré et dont l’activité soit impossible à lire.
Mais c’est l’exception.

👉 Le reste est lisible. Objectivable. Prévisible.

Et si on met les chiffres sur la table, voici ce que je constate depuis 15 ans, sur près de 200 développeurs accompagnés :

🔻 60 % ne sont tout simplement pas faits pour ce métier,
à l’instant T, dans leur structure.
Pas forcément de leur faute.
Mais pas les bons profils, pas au bon endroit, pas au bon moment.

🔸 20 % signent… parfois.
Et avaient aussi des années blanches.
Des profils intelligents, expérimentés, souvent +35 ans, 7–8 ans d’expérience.
Mais pas de méthode, pas de cap.
Juste une capacité à se raccrocher aux branches (Une vraie compétence, mais difficilement pilotable).

🟢 20 % avaient des résultats réguliers, prévisibles, objectivables.
Pas linéaires (ça reste du foncier 😅 ), mais constants.
Et tous ceux-là partagent la même base :
– Des méthodes
– Du suivi et de la persévérance
– Une capacité à être piloté
– Une conscience aigue de l’échelle de la création de valeur

Conclusion ?

➡️ Les 60 % se repèrent immédiatement dans une structure bien cadrée.
(Sans pilotage, ils deviennent invisibles, et très coûteux.)
➡️ Les 20 % “en roue libre” sont plus durs à lire.
Ils performent… ou pas. Mais ils vivent ou meurent par le résultat.
➡️ Les 20 % performants ?

🧠 Gardez-les. Formez-les. Valorisez-les. Donnez leur un plan de carrière.
Parce que ceux-là, vous les perdez toujours trop vite.